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BDSM : Explication de texte...

 

 Il n’y a pas une relation BDSM type mais une infinité, en fait autant que de couples BDSM. La relation BDSM est d’abord la relation entre une femme et un homme qui ont d’un commun accord décidé de faire un bout de route ensemble, c’est le couple qui fonde la relation BDSM et non la relation BDSM qui fonde le couple. Le monde du BDSM est vaste, il n’y a pas de Haute Autorité qui définit ce que doit être point par point la relation ni de Grand Prêtre apôtre de la pensée unique qui juge les bons et les mauvais. C’est un monde de liberté où chaque couple Maître/soumise est libre d’agir en fonction de ses envies de sa sensibilité pour peu que leur relation s’inscrive dans le cadre de ce monde. En voici
quelques repères.

 



BD/DS/SM : BONDAGE-DISCIPLINE / DOMINATION - SOUMISSION / SADO - MASOCHISME 

  

Bondage-Discipline :

On peut être surpris de voir individualisé le bondage, un des éléments du jeu SM, pour l’associer à la discipline. En fait le bondage, action d’attacher la soumise, que ce soit avec des menottes d’acier, des bracelets de cuir ou dans des entrelacs complexes de cordes lors du shibari est une discipline du corps. Par le bondage le Maître s’approprie le corps de la soumise, il le plie à sa volonté, par le bondage la soumise s’abandonne au Maître, elle s’offre à lui. C’est par les règles qu’il lui impose que le Maître la lie à lui, c’est par les directives auxquelles elle se soumet que la soumise s’attache au Maître.

 

Domination-Soumission :

Placé en position centrale pour bien signifier que le rapport de domination/soumission est le cœur de la relation, à la fois fondement et moteur sans lequel rien n’est possible. On est là dans le domaine pur des choses de l’esprit.
Dominer c’est être au dessus de l’autre, non à la manière d’un dictateur hystérique ou d’un bourreau sanguinaire, mais par la force de son esprit, par son contrôle de la situation.
Se soumettre est remettre à l’autre les clefs de son corps et de son esprit, non pour devenir un pantin désarticulé, une chose décérébré, mais pour apprendre à marcher, pour se libérer.

La domination est alors l’art de guider la soumise, de la pousser à donner le meilleur de ce qu’elle a en elle pour la conduire là où inconsciemment elle veut aller.

La soumission c’est l’acceptation du pouvoir libérateur de l’autre.

 

Sado-Masochisme :

L’aspect SM est la partie émergée de l’iceberg BDSM qui lui vaut sa réputation sulfureuse. Mais il ne faut pas confondre la relation purement sado-masochiste et le volet sadomasochiste du BDSM.  Dans une relation purement sadomasochiste la douleur en est le but même. Celle-ci est recherchée comme source de plaisir sexuel que ce soit par le sadique ou par la masochiste. L’autre n’y est vécu que comme l’objet permettant d’atteindre ce plaisir. C’est un plaisir que l’on prend de l’autre.

Dans la relation BDSM la douleur n’est pas univoque. Certes c’est la douleur souffrance tant physique que morale de la punition, douleur faite pour marquer certes le corps mais surtout l’esprit de la soumise. Mais c’est surtout la douleur subtile en faisant monter progressivement les endorphines. C’est la douleur-plaisir qui déclenche l’orgasme, toutes les deux précieux joyaux qu’offre le Maître à sa soumise. La douleur est alors un signifiant de la relation et c’est par elle, entre autre, que se renforcent les liens entre le Maître et la soumise. C’est une douleur qui ouvre à l’autre et le rapproche de soi. C’est un plaisir que l’on offre à l’autre

 

 

Le Triangle BDSM

Ainsi qu’il a été vu dans sa définition, le BDSM est l’association de trois principes : Bondage/Discipline, Domination/Soumission, Sado/Masochisme. Ces trois éléments constituent les 3 pôles sur lesquels la relation sera basée. Mais ceux-ci sont en constante interdépendance, une action dans l’un des pôles de la relation aura immédiatement une répercussion sur les deux autres pôles.
On pourra alors représenter le BDSM par un triangle dont les angles seront les 3 constituants du BDSM, les côtés représenteront l’inter-relation qui unit deux constituants entre eux, le sommet du triangle sera évidemment le pôle domination/soumission. Toute relation qui s’inscrit à l’intérieur de ce triangle sera une relation BDSM. Il apparaît évident qu’une relation qui n’intégrerait pas une des composantes serait en marge du BDSM, la relation purement axée D/s et discipline que certains nomment « cérébrale » en est l’exemple le plus classique. De même une relation qui ne se limiterait qu’à une des composantes serait hors du champ BDSM, la relation sadomasochiste en est l’exemple type. Il appartient à chaque couple de se positionner à l’intérieur du triangle en fonction de ses désirs, de ses aspirations et de sa plus ou moins grande attirance vers l’un ou l’autre des pôles.
Cependant il faudra savoir garder un équilibre entre les diverses composantes, plus la relation sera proche du centre du triangle plus elle sera stable à l’inverse plus elle privilégiera un des aspects plus celle-ci sera déséquilibrée et risquera de glisser progressivement hors du triangle.

(Texte repris)

 

Les 9 niveaux de soumission

 

Tirer d’un livre écrit originalement en anglais, par Diane Vera, intitulé " The lesbian S/M safety manual " édité par Pat Califia de Lace/Alyson Press, Boston, 1988, réimprimer en 1990

 

A l’intérieur de la subculture S et M, plusieurs personnes utilisent les mots " soumis(e) " et " esclave ". pour décrire plusieurs différents concepts. Quand un(e) soumis(e) dit : " Je veux être ton esclave! " quelques fois il (elle) veut juste dire, qu’il (elle) veut être attaché(e), baillonné(e), et fouetté(e). Plusieurs dominantes professionnelles font référence à leurs " pas si soumis que ça " client sous le terme " d’esclaves ". Àl’autre extrémité, il y a des gens qui souhaitent devenir des " servants(es) " personnel, propriété(e) d’un(e) Maître(sse) , et dont l’unique but de leur existence, est d’existé pour leur Maître(sse) pour son plaisir et le servir. Entre ces deux extrêmes, il y a plusieurs nuances de " soumission ".

 

  1. LE(LA) MASOCHISTE NON SOUMIS(E) OU LE(LA) FETICHISTE SENSUEL(LE) : Non intéressé(e) par la servitude, l’humiliation ou de " donner " le contrôle à autrui; il (elle) est intéressé(e) seulement par la douleur et/ou une sensualité plus " épicée " , toujours sous son propre contrôle et terme, pour son plaisir personnel. (Désir de recevoir seulement que des sensations corporelles et nullement intéressé(e) d’être utilisé pour servir un partenaire aux besoins " sadique ")

  2. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), NON ESCLAVE : Non intéressé(e) de " jouer à l’esclave ", mais intéresser au autre rôle de soumission, comme les scènes de professeur d’école, infantilisme, travestisme forcé. Souvent intéressé(e) par l’humiliation, mais non de servir un(e) Maître(sse) même en jeu. Va largement décider du jeu et des règles.

  3. LE(LA) PSEUDO SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU: Aime " jouer " à l’esclave. Aime se sentir soumis(e) et servir un(e) Maître(sse) et dans certains cas, aime être utilisé pour satisfaire son partenaire aux besoins sadiques, mais dans tout les cas, sous ses propres termes et conditions. Dicte largement le déroulement de la scène. Souvent des adeptes fétichistes comme par exemple les admirateurs de pieds(foot fetish).

  4. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), NON ESCLAVE: Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et sous certaines limites négociées). Trouve sa satisfaction dans les aspects de la soumission autre, que de servir ou d’être utilisé(e) par un(e) Maître(sse). Excité(e) par le suspense, la vulnérabilité et/ou de donner la responsabilité à son partenaire. Ne contrôle pas ou très peu la scène, excepté dans les détails larges, mais recherche son plaisir direct (contrairement d’avoir du plaisir de plaire au dominant).

  5. LE(LA) VRAI(E) SOUMIS(E), ESCLAVE PAR JEU: Donne le contrôle à son partenaire (d’une façon temporaire et durant certaines scènes, d’une façon brève et sous certaines limites négociées.) Trouve sa satisfaction de servir et d’être utilisé(e) par son(sa) dominant(e), mais seulement pour le plaisir, souvent érotique. Peu aimé ou non, la douleur. Si aime la douleur, l’aime d’une façon indirecte (être utilisé(e) par un(e) partenaire aux besoins sadiques et le(la) soumis(e) met peu de limites à cet aspect de la scène).

  6. ESCLAVE COURT TERME, SANS SE COMETTRE MAIS PLUS QU'UN JEU SOUMIS(E): Donne le contrôle à son partenaire (normalement sous certaines limites et restrictions), pour servir et être utilisé par le dominant, pour des occasions aussi bien érotiques que non érotiques, mais seulement quand le(la) soumis(e) en a envie. Peu également devenir esclave " à plein temps " mais pour une période déterminée comme par exemple plusieurs jours, mais peu décider d’arrêter quand il (elle) le veut. Peu avoir ou pas, une relation à long terme avec un(e) Maître(sse), sauf que le(la) soumis(e) a le dernier mot pour quand il(elle) va servir son Maître(sse)

  7. A TEMPS PARTIEL, CONSENSUEL MAIS VRAI(E) ESCLAVE: A une relation avec un(e) Maître(sse) et se considère propriété du (de la) Maître(sse) en tout temps. Veux obéir et satisfaire le(la) Maître(sse) autant dans les activités quotidiennes non érotiques qu’érotiques. Va souvent consacrer de son temps à d’autre activité tel que le travaille, mais son(sa) Maître aura le premier choix sur son temps libre.

  8. ESCLAVE A TEMPS PLEIN, CONSENSUEL: À part de quelques règles de base, et limite, l’esclave considère d’exister seulement pour le plaisir et le bien-être du(de la) dominant(e). Par contre, l’esclave va exiger d’être considéré(e) comme la plus grande possession de son(sa) dominant(e). Sa situation étant pas très différente de la situation traditionnelle de la femme au foyer, excepté que dans la philosophie S et M, sa position est consensuelle. Ce qui est encore plus vrai, si l’esclave est mâle. Àl’intérieur de la philosophie S et M, un esclave va entrer dans une relation avec un(e) dominant(e), après avoir considéré(e) avec soin cette relation, à cause de la magnitude du don de soi, et du pouvoir donner au dominant(e). L’esclave est aussi encore plus conscient des dangers de ce type de relation, et va y entrer après entente extrêmement claire et précise, plus encore, du type d’entente que peut précéder un mariage.

  9. ESCLAVE TOTAL(E), CONSENSUEL ET SANS LIMITES: Une fantaisie idéale, qui n’existe probablement pas dans la réalité. (Excepté pour certain type de religions ou sectes, ou le consentement est induis par lavement de cerveau., donc pas consensuel.) Certains puristes S et M vont dirent qu'un(e) esclave n’est pas un esclave, si il(elle) n’est pas prêt à faire N’IMPORTE quoi qui peut lui avoir été ordonné(e), par son(sa) dominant(e). L’auteure de ses lignes a rencontré des gens qui se disent esclaves sans limites, mais l’auteure a ses raisons de douter de la véracité de ces affirmations.

 

Les 12 règles d'Or d'une soumise

 

  1. Les yeux baisés en ma présence, tu conserveras.La soumise s'efforcera de ne jamais croiser le regard de son Maître, celle-ci étant indigne de porter le regard sur lui. Les exceptions autorisées par le Maître devront être perçues par la soumise comme une récompense dont elle n'est pas digne. Elle s'imposera donc de conserver les yeux à terre sitôt le Maître en sa présence. Cette disposition aura pour effet de lui rappeler, si besoin en était, son statut intrinsèque de soumise

  2. Jamais mes décisions tu ne contesteras.La soumise ayant toute confiance en son Maître s'en remet donc intégralement à lui et en son jugement. Ce qu'il fait ou dit est vérité universelle. Dans le cas d'incompréhension d'une intention du Maître, la soumise acceptera sans rechigner ni tergiverser de se prêter aux exigences du Maître. Puisque que la soumise a confiance en son Maître, ce qu'il entreprend ne peut l'être que pour le bien de la soumise et son plaisir à lui.

  3. Jamais les jambes tu ne croiseras.De façon à être ouverte en permanence, la soumise s'interdira de se tenir les genoux serrés et à plus forte raison, les jambes croisées. Dans le même esprit, la soumise tiendra son sexe, son anus et ses aisselles, exempts de toute pilosité incongrue, sauf si le Maître apprécie une toison à l'un ou l'autre de ces endroits. De même le port des sous-vêtements sera proscrit sauf si le Maître en exprime le désir. Il pourra à loisir autoriser le port de soutien-gorge et culotte ou l'un des deux, ou aucun.

  4. Une attitude humble et respectueuse tu conserveras.Pour bien manifester sa soumission, l'esclave adoptera constamment un ton et un comportement respectueux pour s'adresser au Maître. Ainsi les paroles seront judicieusement choisies, ne seront jamais agressives, et encore moins ne manifesteront à aucun moment un quelconque énervement ou signe d'impatience. Il est évident que le mode impératif pour s'adresser au Maître, est proscrit. Dans le même esprit, le port de bijoux se fera de manière non ostentatoire. La soumise s'efforcera de se positionner en permanence en retrait de son Maître. Elle observera aussi d'être toujours à un niveau inférieur à lui, sur le plan physique. Ainsi lorsque le Maître est assis, la soumise s'assoira à ses pieds, et ainsi de suite.

  5. À chaque infraction, ta punition toi-même tu fixeras.Bien évidemment le Maître conservera un oeil critique et attentif aux faits et gestes de sa soumise. Il peut arriver qu'une faute ou erreur de comportement liée à son statut soit commise par la soumise. Mais le Maître peut aussi volontairement laisser croire à sa soumise que la faute n'a pas été relevée, afin de vérifier l'intégrité du respect de cette règle. La soumise devra donc dans les plus brefs délais, informer son Maître de toute inconduite dont elle aurait pu se rendre coupable, et en réclamer la juste punition.

  6. Ton temps libre à mon plaisir et mon bien-être tu consacreras.L'esclave devra consacrer l'essentiel de son temps à se dévouer comme il se doit à son Maître. Elle s'inquiétera en permanence du bien être de son Elu, s'attachant à servir celui-ci comme son statut de servante l'y oblige. Ainsi, à table par exemple, elle devra veiller à ce que le Maître ait toujours son verre plein, du pain à disposition. Elle le servira des meilleurs morceaux, ne conservant pour elle que les restes que celui-ci consent à lui laisser. Si l'envie lui en prend, le Maître fera prendre sa pitance à son esclave, dans une gamelle, à genoux à ses pieds. Voire même lui jeter de temps à autre un os à ronger, le plaisir d'une soumise étant d'être avilie, rabaissée au rang d'animal de compagnie que le Maître peut indifféremment caresser ou repousser d'un coup de pied.

  7. Irréprochable et parée toujours tu seras.L'esclave veillera à être en permanence désirable pour son Maître. De ce fait elle s'abstiendra de se présenter à Lui en tenue négligée, mais au contraire s'efforcera de paraître toujours sous son meilleur jour. Dans le cas où les obligations familiales s'opposent à ce précepte, l'esclave s'en excusera immédiatement auprès du Maître, et fera en sorte de remédier très rapidement à cette situation inacceptable.

  8. Par mensonge ou omission, la vérité tu ne travestiras.Il est hors de question de tolérer tout manquement à cette règle. En aucun cas, la soumise ne devra dissimuler, ou travestir la pure vérité à son Maître. Quelque soit la gravité des faits, ou paroles incriminées, la soumise devra en informer immédiatement son Maître qui jugera en toute équité du bien-fondé et de la dureté de la punition méritée.

  9. Toutes tes tenues imposées avec fierté tu porteras.Le jeu de Domination/Soumission ne se cantonne pas (ou ne devrait pas se cantonner) aux seules soirées organisées. Si la soumise est sincère, elle vivra sa soumission à chaque instant. Elle portera sur elle les marques de son appartenance et de sa condition. Le collier de cuir muni d'un anneau pour accrocher une laisse semble le plus indiqué en la matière. Visible de tous, il peut être suffisamment décoratif tout en étant relativement explicite et laisser planer le doute. Ce qui ajoutera à la confusion de la soumise et la maintiendra en état d'esclavage. Il pourra demander à sa soumise, pour son plus grand plaisir, de sortir court vêtue, et d'arborer un décolleté provoquant afin d'offrir le spectacle de son corps à des inconnus, dans les lieux et circonstances qui plairont au Maître. Il restera en permanence organisateur et bien sûr, garant de la sécurité de la soumise, dans ces jeux d'exhibition.

  10. Avec quiconque dans nos jeux même comportement tu adopteras.Le Maître peut prêter ou louer et à l'extrême, vendre ou donner sa soumise à qui bon lui semble. Dans ce cas, ce que fait ou dit le nouveau bénéficiaire a, aux yeux de l'esclave, exactement la même valeur que si ces gestes et paroles émanaient du Maître. La soumise devra donc exécuter avec le même entrain et la même ferveur, les demandes du nouveau Maître.

  11. De ton corps, jamais aucun accès tu ne me refuseras.Puisqu'une soumise est ravalée au rang d'objet sexuel, le Maître peut se servir d'elle à sa guise, quand bon lui semble. La soumise dormira donc nue. Ce qui facilite l'intromission du Maître pendant la nuit, si l'envie lui en prend. Elle sera de temps à autre attachée dans une position pas trop confortable, mais laissant ses différents orifices à portée de son Maître. L'introduction de divers objets peut être envisagée, pour le plaisir du Maître de savoir son esclave ainsi possédée en permanence. Par contre, il est expressément accepté par la soumise qu'aucun plaisir sexuel, que se soit par la masturbation, par une ou un autre partenaire, n'est acceptable sans le consentement et même plus, sans qu'il ne soit de l'initiative du Maître. Les jours de menstrues de l'esclave, celle-ci en informera son Maître et maintiendra son orifice anal lubrifié par un produit adéquat, de façon à ce que celui-ci soit pénétrable à chaque instant sans effort pour le Maître. Il pourra ainsi disposer indifféremment de la bouche ou de l'anus de sa soumise tant que celle-ci sera indisponible vaginalement. Bien sûr, si le Maître prend plaisir à posséder sa soumise durant cette période il pourra en disposer à sa guise, et cela, même si l'esclave goûte peu les pratiques sexuelles lors de ses jours d'indisposition.

  12. De tes punitions, toujours tu me remercieras.Le Maître disposera intégralement de sa soumise. Il pourra tout à loisir s'amuser avec son corps aussi bien qu'avec son esprit. Ainsi, s'il lui prend l'envie de faire subir un châtiment corporel à la soumise, il n'aura pas à s'en justifier. A plus forte raison, si la soumise a failli à l'une des obligations afférentes à son statut. La soumise s'obligera à remercier le Maître de l'attention qu'il a bien voulu lui porter lors de cette punition. De même il pourra à discrétion la faire dormir dans un lieu de rétention, dans des conditions minimales de confort. Ce dont la soumise remerciera également.

 

Les dix règles d'un Dominant

 

  1. Soyez patient :Le BDSM n'est pas une course, améliorez vous tout en côtoyant les autres. Ceci est beaucoup plus sage que de se lancer les yeux fermés. Jusqu'à vous entamez un contrat avec une autre soumise, vous avez aucun pouvoir sur la soumise et aucun pouvoir de plus qu'un autre Dominant. De plus, il faut apprendre à être aussi sévère que gentil. Bref, étudiez les personnes et cherchez les points qui vous serviront à vous améliorer.

  2. Soyez humble :L'important c'est de rester soi-même. N'essayez pas de passer pour quelqu'un d'autre en vous vantant de pouvoir faire telle ou telle chose. Tôt ou tard votre vrai personne va faire surface et déception et perte de confiance s'en suivra. On a tous des qualités et des défauts, l'important c'est de vouloir apprendre et doubler d'effort pour s'améliorer. Avec le temps et de l'expérience, vous passerai pour celui que vous souhaiter être.

  3. Soyez ouvert :Même si vous être Dom, vous n'avez pas la science infuse. Même une soumise peut vous apprendre des choses. Soyez disposés à apprendre des autres Doms qui peuvent avoir une perspective de la votre. Prenez et analysez chaque conseil qu'on vous donne et demandez vous si cela vous sera utile. Finalement, faites des recherches et apprennez sur le sujet, on a jamais trop de connaissance.

  4. Communiquez :Parlez BDSM avec votre future soumise pour mettre tout au clair avant que vous commenciez à jouer. Définissez clairement des rôles, des règles, des limites et des contrats. Allez même faire un retour aux règles de bases. En plus, en faisant connaissance, votre confiance avant l'autre augmentera et ça sera tout à votre avantage.

  5. Soyez honnête :Si vous voulez essayer de quoi de nouveau avec une soumise et que vous êtes moins expérimentés qu'elle, soyez honnête avec elle et faites lui savoir. Elle a le droit de savoir ça pour savoir dans quoi elle s'embarque. N'essayez pas quelque chose que vous êtes pas totalement à l'aise avec, car la sureté de votre soumise devrait toujours être le premier soucis. Avec les mensonges on risque aussi de perdre la confiance qu'à notre soumise envers nous, donc vous avez toute à perdre de mentir.

  6. Soyez sensible :Gagnez la confiance complète de votre soumise et jamais violez ou même menacez cette confiance. Sa soumission à vous est le plus beau cadeau qu'elle peut vous faire. Alors prennez en bien soin. Même si elle est soumise, elle est humaine. Vous devez être compréhensif en certaine occassion. L'expression une main de fer dans un gant de velour représente très bien comment vous devez agir avec votre soumise. Il faut savoir détecter et rapidement les besoins de la soumise.

  7. Soyez réaliste :Sachez faire la différence entre l'imagination et la réalité. C'est bien de pondre des projets, mais chaque projet doit avoir faite preuve d'analyse avant l'exécution. Les 2 parties doivent être à l'aise avant l'exécution. N'oubliez jamais la sécurité dans vos jeux.

  8. Soyez vraiment dominant :Les soumises recherchent quelqu'un qui prendra possession de leurs corps et de leurs esprit, pas seulement par la force et la brutalité. Prenez la soumise comme elle s'attend d'être prise et attendez-vous ainsi à ce qu'elle se donne totalement à vous. Veuillez à ce que les règles soient respectés et punissez au moment nécessaire. Gardez votre soumise dans le droit chemin. Vous avez accepter le rôle de dominant, alors maintenez-le. Il faut aussi faire la différence entre une relation D/s et une relation amoureuse.

  9. Soyez en santé :Le BDSM exige que ses participants soient en santé physique et psychologique. Ne prenez jamais d'alcool ou drogue pendant une scéance, vous devez être là à 100 % pour maintenir le tout sécuritaire.

  10. Ayez du plaisir :Amusez-vous à expérimentez le BDSM.... tout en respectant les règles et la sécurité.

 

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